Voyants les plus populaires
Eric medium vu sur France www.starofservice.com/professionnel Medium voyant sans support France entiĂšre
Fabio d'Ara voyant, ps.i. https://youtu.be/vv6P8gqSUEg Voyant sans support ou psy.intuitif. Pour toute la France et Dom Tom
Andre Tarologue www.icone-voyance.e-monsite.com Je suis entier,allant Ă lâessentiel Sur toute la France |
Pascal - Voyant![]() Interview de Pascal - voyant qui pratique la voyance depuis plus de 20 ans et qui a beaucoup Ă nous apprendre sur la vie. Comment et quand avez-vous vĂ©cu vos premiĂšres manifestations de voyance ?Je suis carrĂ©ment tombĂ© dedans car ma mĂšre pratiquait la cartomancie en amateur. Je nâĂ©tais donc pas choquĂ© et moi-mĂȘme jâai toujours eu des intuitions, par exemple je ressentais quâil allait se passer telle chose et cela arrivait. Jâavais des flashs et cela ne me surprenait pas car depuis tout petit je vivais cela. Sous quelle forme aviez-vous ce genre de prĂ©monitions ?Câest une idĂ©e qui sâimpose, ce quâon appelle un flash, vous savez, comme quand vous vous dites âJe vais aller acheter le painâ et vous y allez ! Cela peut ĂȘtre anodin, par exemple âTiens, cette voiture va tourner Ă droite au prochain carrefourâ et, en effet, elle tourne Ă droite ! Câest une idĂ©e qui vous est venue comme ça sans rĂ©flĂ©chir. Câest souvent une sĂ©rie de petits Ă©vĂšnements qui survenaient tout naturellement. Avez-vous vĂ©cu des Ă©vĂšnements plus importants que ces âpetites chosesâ quâil vous arrivait de ressentir dans la vie quotidienne ?Pendant mon enfance je vivais trĂšs bien ces petites manifestations qui faisaient partie de ma vie et qui mâamusaient plutĂŽt. Câest plus tard, Ă lâadolescence, que jâai pris conscience de ma diffĂ©rence, que les autres ne sont pas tout Ă fait comme vous. Je me souviens dâune anecdote : jâavais quinze ans et un ami me parlait dâune jeune fille qui lui plaisait mais quâil nâosait aborder. Il mâapparut comme une Ă©vidence quâils sortiraient ensemble, Ă la grande surprise de mon ami. JâĂ©tais dâailleurs moi-mĂȘme surpris dâĂȘtre seul Ă avoir ces Ă©vidences, dâentrer dans cette histoire qui nâĂ©tait pas la mienne. A cet Ăąge ces manifestations Ă©taient donc purement spontanĂ©es, vous ne pouviez ni les provoquer ni les diriger ?Quand on est jeune on ne choisit pas, on ne contrĂŽle pas les choses, ça vous vient spontanĂ©ment. Pourquoi sur telle personne allez-vous ressentir quelque chose et rien sur une autre ? Jâai donc prĂ©fĂ©rĂ© garder cela secret, nâen parlant Ă personne sauf Ă ma famille qui Ă©tait comprĂ©hensive pour ces phĂ©nomĂšnes. Vous arrivait-il parfois dâavoir des flashes par rapport Ă de parfaits inconnus ?Cela mâarrivait souvent quand jâĂ©tais jeune car je ne contrĂŽlais rien. Quand une idĂ©e me venait elle prenait vite le dessus et me prĂ©occupait. Cela pouvait devenir trĂšs perturbant car si on ne contrĂŽle pas cette facultĂ© elle peut devenir gĂȘnante. Câest dâailleurs le cas pour de nombreuses personnes. Cette facultĂ© vous a-t-elle posĂ© problĂšme avec votre famille ou votre entourage ?Pas du tout avec ma famille car, comme je vous le disais, jâĂ©tais dĂ©jĂ prĂ©parĂ© Ă ces phĂ©nomĂšnes, ni avec mon entourage. En effet, je prĂ©fĂ©rais garder le secret car je frĂ©quentais un lycĂ©e technique avec une majoritĂ© de garçons. Il nâĂ©tait guĂšre possible dâĂ©voquer ces sujets avec mes camarades, on avait vite fait de passer pour un homosexuel ! Jâai compris quâil valait mieux Ă©viter dâen parler. A cette Ă©poque il y avait ma famille... et le reste du monde. Je vivais dans une sorte de dichotomie entre les deux. A quel moment et pourquoi avez-vous choisi de pratiquer la voyance en professionnel ?Je travaillais dans lâinformatique, un milieu technique, pas trĂšs humain, qui ne convenait pas Ă mon caractĂšre. A cette Ă©poque jâavais aussi des problĂšmes familiaux que jâespĂ©rais plus gĂ©rables en Ă©tant Ă mon compte. Je me suis donc retrouvĂ© Ă 35 ans devant un choix : je dĂ©sirais fortement travailler dans le monde de la voyance et par ailleurs les circonstances familiales sây prĂȘtaient. Il y a dâun cĂŽtĂ© le dĂ©sir, de lâautre les circonstances et il est trĂšs important dâĂȘtre dans les deux ! Quels conseils donneriez-vous Ă de futurs professionnels ?Pour ceux qui dĂ©sirent sâinstaller je leur dirais : sâil y a la volontĂ© mais pas les circonstances cela ne pourra pas aller. Il faut vraiment savoir si on veut en faire un mĂ©tier ou une activitĂ© secondaire. Si on veut en faire une profession il faut tenir compte des inconvĂ©nients du mĂ©tier : un client ne reviendra pas forcĂ©ment quand son problĂšme est rĂ©solu. il pourra aussi consulter dâautres voyants pour comparer les prĂ©dictions, ce qui crĂ©e de la concurrence. Quâest-ce qui vous a dĂ©cidĂ© Ă exercer votre activitĂ© Ă plein temps ? serait-ce un taux de rĂ©ussite encourageant ?Le taux de rĂ©ussite nâest jamais 100 % car la voyance est une science humaine. Ceux qui y prĂ©tendent vous mentent. Avec certaines personnes on aura du feeling, avec dâautres non, certaines sont ouvertes, dâautres fermĂ©es. Pire, il existe des clients qui mentent ou qui du moins prĂ©sentent les Ă©vĂšnements Ă leur façon. On ne peut donc faire de bonne voyance dans ces conditions. Le voyant et le client forment un couple, la bonne foi et lâouverture sont indispensables pour Ă©tablir un lien. Comment considĂ©rez-vous votre rĂŽle de voyant ?Essentiellement comme une relation dâaide, au mĂȘme titre que le mĂ©decin, de conseil afin que les bonnes choses annoncĂ©es par les cartes se rĂ©alisent, plutĂŽt quâune notion de voyance Ă tout prix. Par exemple, une cliente redoutait que son ami la quitte et cela apparaissait en effet dans les cartes. Mais nous avons le libre arbitre et dans ce cas il consistait Ă tout faire pour que cet Ă©vĂšnement ne se rĂ©alise pas. Comment concilier la notion de destin et de libre arbitre ?Le destin met sur notre chemin des Ă©vĂšnements que nous ne choisissons pas : une rencontre, bonne ou mauvaise, la maladie, un accident... Mais aprĂšs nous avons le libre arbitre : que vais-je faire de cela ? Vous avez dĂ©butĂ© votre activitĂ© en cabinet, pourquoi ne pratiquez-vous plus que par tĂ©lĂ©phone ? Y a-t-il des avantages ?En cabinet on a en face de soi une personne souvent stressĂ©e ce qui créé une certaine empathie. Or il vaut mieux prendre du recul, de la distance, câest pourquoi je prĂ©fĂšre la consultation tĂ©lĂ©phonique. Ainsi lâon est beaucoup moins influencĂ© par la personne, moins soumis aux perturbations liĂ©es Ă ses problĂšmes et donc on est plus dans le ressenti. MalgrĂ© ce que pensent certains la communication âpasseâ donc mieux par tĂ©lĂ©phone, pour moi en tout cas.
Fatal error: Uncaught ArgumentCountError: Too few arguments to function signaler(), 3 passed in /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/PHP/a_ap.php on line 274 and exactly 4 expected in /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/LIB/conf_base.php:398 Stack trace: #0 /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/PHP/a_ap.php(274): signaler('Message', 14297644, '14168064481304') #1 /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/LIB/fond.php(285): include('/homepages/6/d7...') #2 /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/corp.php(101): include('/homepages/6/d7...') #3 /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/a/Pascal-Voyant-136180742847.php(3): include('/homepages/6/d7...') #4 {main} thrown in /homepages/6/d777224671/htdocs/GUIDE-VOYANCE/LIB/conf_base.php on line 398 |
Laissez un commentaire pour partager votre expérience
Cet article vous fait réagir, vous désirez partager vos impressions, alors n'hésitez pas à laisser un commentaire.
Pour pouvoir laisser votre commentaire vous devez ĂȘtre connectĂ© Ă votre compte :
Ă votre compte
compte